Midroll

Qu’est-ce que les entreprises peuvent faire pour faciliter le consentement éclairé du consommateur, alors qu’en réalité personne ne lit les conditions d’utilisation?   

Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Sandrine Prom Tep, professeure au département de marketing à l’ESG UQAM, spécialisée en marketing numérique, qualité de service électronique et expérience utilisateur. 

Qu&rsquo;est-ce que les entreprises peuvent faire pour faciliter le consentement &eacute;clair&eacute;&nbsp;du consommateur, alors qu&rsquo;en r&eacute;alit&eacute;&nbsp;personne ne lit les conditions d&rsquo;utilisation?&nbsp;&nbsp;&nbsp;
Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec&nbsp;Sandrine&nbsp;Prom&nbsp;Tep, professeure&nbsp;au d&eacute;partement de marketing &agrave; l&rsquo;ESG UQAM, sp&eacute;cialis&eacute;e en marketing num&eacute;rique, qualit&eacute; de service &eacute;lectronique et exp&eacute;rience utilisateur.&nbsp;

Qu’est-ce que les entreprises peuvent faire pour faciliter le consentement éclairé du consommateur, alors qu’en réalité personne ne lit les conditions d’utilisation?     Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Sandrine Prom Tep, professeure au département de marketing à l’ESG UQAM, spécialisée en marketing numérique, qualité de service électronique et expérience utilisateur.

L’éthique des conditions d’utilisation

Il est primordial pour toutes organisations qu’elles soient publiques ou privées de surveiller et d’analyser leur environnement externe. La veille peut avoir plusieurs saveurs, elle peut être stratégique, technologique, concurrentielle, académique ou réputationnelle pour n’en citer que quelques-unes. Comment faire la part des choses entre des modes passagères et une vraie tendance de fond?  

Régis Barondeau, professeur agrégé au Département de management et technologie de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM. 

Il est primordial pour toutes organisations qu&rsquo;elles soient publiques ou priv&eacute;es de surveiller et d&rsquo;analyser leur environnement externe. La veille peut avoir plusieurs saveurs, elle peut &ecirc;tre strat&eacute;gique, technologique, concurrentielle, acad&eacute;mique&nbsp;ou&nbsp;r&eacute;putationnelle pour n&rsquo;en citer que quelques-unes. Comment faire la part des choses entre des modes passag&egrave;res et une vraie tendance de fond?&nbsp;&nbsp;
R&eacute;gis&nbsp;Barondeau, professeur agr&eacute;g&eacute; au D&eacute;partement de management et technologie de l&rsquo;&Eacute;cole des sciences de la gestion de l&rsquo;UQAM.&nbsp;

Il est primordial pour toutes organisations qu’elles soient publiques ou privées de surveiller et d’analyser leur environnement externe. La veille peut avoir plusieurs saveurs, elle peut être stratégique, technologique, concurrentielle, académique ou réputationnelle pour n’en citer que quelques-unes. Comment faire la part des choses entre des modes passagères et une vraie tendance de fond?    Régis Barondeau, professeur agrégé au Département de management et technologie de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM.

La veille organisationnelle

Quand on parle d’objets intelligents, nous pensons tout de suite à un aspirateur robot, une brosse à dent intelligente ou bien à notre téléphone intelligent, mais dans le monde des affaires, quelle forme prend l’Internet des objets (IdO/IoT)?   

Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Ygal Bendavid, directeur du Laboratoire d’Internet des objets (IdO/IoT) et professeur au Département d’analytique, opérations et technologies de l’information de l’ESG UQAM. 

Quand on parle d&rsquo;objets intelligents, nous pensons tout de suite &agrave; un aspirateur robot, une brosse &agrave; dent intelligente ou bien &agrave; notre t&eacute;l&eacute;phone intelligent, mais dans le monde des affaires, quelle forme prend l&rsquo;Internet des objets&nbsp;(IdO/IoT)?&nbsp;&nbsp;&nbsp;
Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec&nbsp;Ygal&nbsp;Bendavid, directeur du&nbsp;Laboratoire&nbsp;d&rsquo;Internet des objets&nbsp;(IdO/IoT)&nbsp;et professeur au&nbsp;D&eacute;partement d&rsquo;analytique, op&eacute;rations et technologies de l&rsquo;information de l&rsquo;ESG UQAM.&nbsp;

Quand on parle d’objets intelligents, nous pensons tout de suite à un aspirateur robot, une brosse à dent intelligente ou bien à notre téléphone intelligent, mais dans le monde des affaires, quelle forme prend l’Internet des objets (IdO/IoT)?     Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Ygal Bendavid, directeur du Laboratoire d’Internet des objets (IdO/IoT) et professeur au Département d’analytique, opérations et technologies de l’information de l’ESG UQAM.

L’Internet des objets

Est-ce que le télétravail a fait sauter les dernières défenses qu’on avait pour protéger notre vie privée? 

Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Ariane Ollier-Malaterre, professeure au Département d’organisation et ressources humaines de l’ESG UQAM, aussi à la tête de l’équipe internationale International Network on Technology, Work and Family à l’ESG UQAM. 

Est-ce que le&nbsp;t&eacute;l&eacute;travail a&nbsp;fait sauter les derni&egrave;res d&eacute;fenses qu&rsquo;on avait pour prot&eacute;ger notre vie priv&eacute;e?&nbsp;
Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Ariane Ollier-Malaterre, professeure au&nbsp;D&eacute;partement d&rsquo;organisation et ressources humaines&nbsp;de&nbsp;l&rsquo;ESG UQAM, aussi &agrave; la t&ecirc;te de l&rsquo;&eacute;quipe internationale International Network on&nbsp;Technology, Work and Family &agrave; l&rsquo;ESG UQAM.&nbsp;

Est-ce que le télétravail a fait sauter les dernières défenses qu’on avait pour protéger notre vie privée?   Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Ariane Ollier-Malaterre, professeure au Département d’organisation et ressources humaines de l’ESG UQAM, aussi à la tête de l’équipe internationale International Network on Technology, Work and Family à l’ESG UQAM.

Protéger sa vie privée, est-ce encore possible ?

L’immobilier, c’est plus que de la brique et du béton. Au Québec comme ailleurs, le secteur mise de plus en plus sur la durabilité et l'adaptabilité. Comment mieux construire les nouveaux immeubles, mais surtout repenser les immeubles existants?  

Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Andrée De Serres, titulaire de la Chaire Ivanhoé Cambridge d’immobilier et professeure titulaire au Département stratégie, responsabilité sociale et environnementale à l’ESG UQAM. 

L&rsquo;immobilier, c&rsquo;est plus que de la brique et du b&eacute;ton. Au Qu&eacute;bec comme ailleurs,&nbsp;le secteur mise de plus en plus sur&nbsp;la&nbsp;durabilit&eacute; et l'adaptabilit&eacute;.&nbsp;Comment mieux construire les nouveaux immeubles,&nbsp;mais surtout repenser les immeubles existants?&nbsp;&nbsp;
Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Andr&eacute;e De Serres, titulaire de la Chaire Ivanho&eacute; Cambridge d&rsquo;immobilier et professeure titulaire au D&eacute;partement&nbsp;strat&eacute;gie, responsabilit&eacute; sociale et environnementale &agrave; l&rsquo;ESG UQAM.&nbsp;

L’immobilier, c’est plus que de la brique et du béton. Au Québec comme ailleurs, le secteur mise de plus en plus sur la durabilité et l'adaptabilité. Comment mieux construire les nouveaux immeubles, mais surtout repenser les immeubles existants?    Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Andrée De Serres, titulaire de la Chaire Ivanhoé Cambridge d’immobilier et professeure titulaire au Département stratégie, responsabilité sociale et environnementale à l’ESG UQAM.

L’évolution de l’immobilier durable

L’économie sociale est un modèle économique assez méconnu des jeunes générations, beaucoup moins que le modèle de capital-actions qu’on connaît très bien. Comment ça se fait? Et surtout, quels sont les impacts de l’économie sociale sur notre société? 

Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Sonia Tello-Rozas, professeure en entreprises sociales et collectives à l’ESG UQAM, responsable de l’Axe Organisations sociales et collectives du Centre de recherche sur les innovations sociales et membre de l’Équipe de recherche en Gestion des entreprises sociales et collectives.   

L&rsquo;&eacute;conomie sociale est&nbsp;un mod&egrave;le &eacute;conomique assez m&eacute;connu des jeunes g&eacute;n&eacute;rations, beaucoup&nbsp;moins&nbsp;que le&nbsp;mod&egrave;le&nbsp;de&nbsp;capital-actions&nbsp;qu&rsquo;on conna&icirc;t tr&egrave;s bien. Comment&nbsp;&ccedil;a se fait?&nbsp;Et surtout, quels sont les impacts de l&rsquo;&eacute;conomie sociale sur notre soci&eacute;t&eacute;?&nbsp;
Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec&nbsp;Sonia Tello-Rozas, professeure en entreprises sociales et collectives &agrave; l&rsquo;ESG UQAM, responsable de l&rsquo;Axe Organisations sociales et collectives du Centre de recherche sur les innovations sociales et membre de l&rsquo;&Eacute;quipe de recherche en Gestion des entreprises sociales et collectives.&nbsp;&nbsp;&nbsp;

L’économie sociale est un modèle économique assez méconnu des jeunes générations, beaucoup moins que le modèle de capital-actions qu’on connaît très bien. Comment ça se fait? Et surtout, quels sont les impacts de l’économie sociale sur notre société?   Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Sonia Tello-Rozas, professeure en entreprises sociales et collectives à l’ESG UQAM, responsable de l’Axe Organisations sociales et collectives du Centre de recherche sur les innovations sociales et membre de l’Équipe de recherche en Gestion des entreprises sociales et collectives.

L’économie sociale

Qu’est-ce qu’on entend par coworking? Mais surtout, comment les acteurs cette nouvelle économie transforment le cadre de vie des quartiers?   

Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Priscilla Ananian, professeure au Département d’études urbaines et touristiques de l’ESG UQAM et directrice des programmes des cycles supérieurs en études urbaines. 

Qu&rsquo;est-ce qu&rsquo;on entend par coworking? Mais surtout, comment les acteurs cette nouvelle &eacute;conomie transforment le cadre de vie des quartiers?&nbsp;&nbsp;&nbsp;
Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Priscilla Ananian, professeure au D&eacute;partement d&rsquo;&eacute;tudes urbaines et touristiques&nbsp;de&nbsp;l&rsquo;ESG UQAM&nbsp;et&nbsp;directrice&nbsp;des programmes des cycles sup&eacute;rieurs en &eacute;tudes urbaines.&nbsp;

Qu’est-ce qu’on entend par coworking? Mais surtout, comment les acteurs cette nouvelle économie transforment le cadre de vie des quartiers?     Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Priscilla Ananian, professeure au Département d’études urbaines et touristiques de l’UQAM et rectrice des programmes des cycles supérieurs en études urbaines.

Le coworking

L’audit est en quelque sorte un mal nécessaire pour les entreprises inscrites en bourse qui doivent accueillir des vérificateurs externes sur la comptabilité de leur compagnie. Comment pouvons-nous améliorer la relation entre l’auditeur et son client?   

Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Richard Fontaine, professeur au Département des sciences comptables de l’ESG UQAM.  

L&rsquo;audit est en quelque sorte un mal n&eacute;cessaire pour&nbsp;les entreprises inscrites en bourse&nbsp;qui doivent accueillir des v&eacute;rificateurs externes sur la comptabilit&eacute; de leur compagnie.&nbsp;Comment pouvons-nous am&eacute;liorer la&nbsp;relation&nbsp;entre l&rsquo;auditeur&nbsp;et son client?&nbsp;&nbsp;&nbsp;
Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Richard Fontaine, professeur au&nbsp;D&eacute;partement&nbsp;des sciences comptables&nbsp;de&nbsp;l&rsquo;ESG UQAM.&nbsp;&nbsp;

L’audit est en quelque sorte un mal nécessaire pour les entreprises inscrites en bourse qui doivent accueillir des vérificateurs externes sur la comptabilité de leur compagnie. Comment pouvons-nous améliorer la relation entre l’auditeur et son client?     Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Richard Fontaine, professeur au département des sciences comptables à l’ESG UQAM.

La relation compliquée entre l’auditeur et le client

Si nous savons que de nombreuses multinationales font de l’évitement fiscal, pourquoi est-ce que rien ne semble être fait? Comment se fait-il qu’elles semblent s’en tirer si facilement?   

Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Julien Frédéric Martin, professeur au Département des sciences économiques de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM. 

Si nous savons que de nombreuses multinationales font de l&rsquo;&eacute;vitement fiscal, pourquoi est-ce que rien ne semble &ecirc;tre fait? Comment se fait-il qu&rsquo;elles semblent s&rsquo;en tirer si facilement?&nbsp;&nbsp;&nbsp;
Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Julien Fr&eacute;d&eacute;ric Martin, professeur au D&eacute;partement des sciences &eacute;conomiques de l&rsquo;&Eacute;cole des sciences de la gestion de l&rsquo;UQAM.&nbsp;

Si nous savons que de nombreuses multinationales font de l’évitement fiscal, pourquoi est-ce que rien ne semble être fait? Comment se fait-il qu’elles semblent s’en tirent si facilement?     Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Julien Frédéric Martin, professeur au Département des sciences économiques de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM.

L'évitement fiscal

Une coop, c’est quoi au juste? Pourquoi ça existe et en quoi c’est profitable, non seulement pour ses membres, mais aussi pour ses dirigeants. Que ce soit le Mouvement Desjardins ou la Coop de votre université, qu’est-ce qui différencie les coopératives des entreprises traditionnelles?  

Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Michel Séguin, professeur titulaire au Département d’organisation et ressources humaines de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM. 

Une coop, c&rsquo;est quoi au juste? Pourquoi &ccedil;a existe et en quoi c&rsquo;est profitable, non seulement pour ses membres, mais aussi pour ses dirigeants. Que ce soit le Mouvement Desjardins ou la Coop de votre universit&eacute;, qu&rsquo;est-ce qui diff&eacute;rencie les coop&eacute;ratives des entreprises traditionnelles?&nbsp;&nbsp;
Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Michel S&eacute;guin, professeur titulaire au D&eacute;partement d&rsquo;organisation et ressources humaines de l&rsquo;&Eacute;cole des sciences de la gestion de l&rsquo;UQAM.&nbsp;

Une coop, c’est quoi au juste? Pourquoi ça existe et en quoi c’est profitable, non seulement pour ses membres, mais aussi pour ses dirigeants. Que ce soit le Mouvement Desjardins ou la Coop de votre université, qu’est-ce qui différencie les coopératives des entreprises traditionnelles?    Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Michel Séguin, professeur titulaire au Département d’organisation et ressources humaines de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM.

Le modèle coopératif

L’École des sciences de la gestion de l’UQAM présente (Dé)construire, une série balado qui décortique le monde des affaires. L’animatrice Anne-Sophie Roy y discute avec différents professeurs de l’ESG UQAM pour mieux saisir l'univers de la gestion, des changements des entreprises en lien avec la COVID-19 à la notion de salaire et de bonheur au travail, en passant par les diversités culturelles des entrepreneurs.  

L&rsquo;&Eacute;cole des sciences de la gestion de l&rsquo;UQAM pr&eacute;sente (D&eacute;)construire, une s&eacute;rie balado qui d&eacute;cortique le monde des affaires. L&rsquo;animatrice Anne-Sophie Roy y discute avec diff&eacute;rents professeurs de l&rsquo;ESG UQAM pour mieux saisir l'univers de la gestion, des changements des entreprises en lien avec la COVID-19 &agrave; la notion de salaire et de bonheur au travail, en passant par les diversit&eacute;s culturelles des entrepreneurs. &nbsp;

(Dé)construire

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