Si nous savons que de nombreuses multinationales font de l’évitement fiscal, pourquoi est-ce que rien ne semble être fait? Comment se fait-il qu’elles semblent s’en tirer si facilement?   

Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Julien Frédéric Martin, professeur au Département des sciences économiques de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM. 

Si nous savons que de nombreuses multinationales font de l&rsquo;&eacute;vitement fiscal, pourquoi est-ce que rien ne semble &ecirc;tre fait? Comment se fait-il qu&rsquo;elles semblent s&rsquo;en tirer si facilement?&nbsp;&nbsp;&nbsp;
Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Julien Fr&eacute;d&eacute;ric Martin, professeur au D&eacute;partement des sciences &eacute;conomiques de l&rsquo;&Eacute;cole des sciences de la gestion de l&rsquo;UQAM.&nbsp;

L’École des sciences de la gestion de l’UQAM présente (Dé)construire, une série balado qui décortique le monde des affaires. L’animatrice Anne-Sophie Roy y discute avec différents professeurs de l’ESG UQAM pour mieux saisir l'univers de la gestion, des changements des entreprises en lien avec la COVID-19 à la notion de salaire et de bonheur au travail, en passant par les diversités culturelles des entrepreneurs.  

L&rsquo;&Eacute;cole des sciences de la gestion de l&rsquo;UQAM pr&eacute;sente (D&eacute;)construire, une s&eacute;rie balado qui d&eacute;cortique le monde des affaires. L&rsquo;animatrice Anne-Sophie Roy y discute avec diff&eacute;rents professeurs de l&rsquo;ESG UQAM pour mieux saisir l'univers de la gestion, des changements des entreprises en lien avec la COVID-19 &agrave; la notion de salaire et de bonheur au travail, en passant par les diversit&eacute;s culturelles des entrepreneurs. &nbsp;

(Dé)construire

Si nous savons que de nombreuses multinationales font de l’évitement fiscal, pourquoi est-ce que rien ne semble être fait? Comment se fait-il qu’elles semblent s’en tirent si facilement?     Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Julien Frédéric Martin, professeur au Département des sciences économiques de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM.

L'évitement fiscal

Midroll

Qu’est-ce que les entreprises peuvent faire pour faciliter le consentement éclairé du consommateur, alors qu’en réalité personne ne lit les conditions d’utilisation?   

Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Sandrine Prom Tep, professeure au département de marketing à l’ESG UQAM, spécialisée en marketing numérique, qualité de service électronique et expérience utilisateur. 

Qu&rsquo;est-ce que les entreprises peuvent faire pour faciliter le consentement &eacute;clair&eacute;&nbsp;du consommateur, alors qu&rsquo;en r&eacute;alit&eacute;&nbsp;personne ne lit les conditions d&rsquo;utilisation?&nbsp;&nbsp;&nbsp;
Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec&nbsp;Sandrine&nbsp;Prom&nbsp;Tep, professeure&nbsp;au d&eacute;partement de marketing &agrave; l&rsquo;ESG UQAM, sp&eacute;cialis&eacute;e en marketing num&eacute;rique, qualit&eacute; de service &eacute;lectronique et exp&eacute;rience utilisateur.&nbsp;

Qu’est-ce que les entreprises peuvent faire pour faciliter le consentement éclairé du consommateur, alors qu’en réalité personne ne lit les conditions d’utilisation?     Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Sandrine Prom Tep, professeure au département de marketing à l’ESG UQAM, spécialisée en marketing numérique, qualité de service électronique et expérience utilisateur.

L’éthique des conditions d’utilisation

Il est primordial pour toutes organisations qu’elles soient publiques ou privées de surveiller et d’analyser leur environnement externe. La veille peut avoir plusieurs saveurs, elle peut être stratégique, technologique, concurrentielle, académique ou réputationnelle pour n’en citer que quelques-unes. Comment faire la part des choses entre des modes passagères et une vraie tendance de fond?  

Régis Barondeau, professeur agrégé au Département de management et technologie de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM. 

Il est primordial pour toutes organisations qu&rsquo;elles soient publiques ou priv&eacute;es de surveiller et d&rsquo;analyser leur environnement externe. La veille peut avoir plusieurs saveurs, elle peut &ecirc;tre strat&eacute;gique, technologique, concurrentielle, acad&eacute;mique&nbsp;ou&nbsp;r&eacute;putationnelle pour n&rsquo;en citer que quelques-unes. Comment faire la part des choses entre des modes passag&egrave;res et une vraie tendance de fond?&nbsp;&nbsp;
R&eacute;gis&nbsp;Barondeau, professeur agr&eacute;g&eacute; au D&eacute;partement de management et technologie de l&rsquo;&Eacute;cole des sciences de la gestion de l&rsquo;UQAM.&nbsp;

Il est primordial pour toutes organisations qu’elles soient publiques ou privées de surveiller et d’analyser leur environnement externe. La veille peut avoir plusieurs saveurs, elle peut être stratégique, technologique, concurrentielle, académique ou réputationnelle pour n’en citer que quelques-unes. Comment faire la part des choses entre des modes passagères et une vraie tendance de fond?    Régis Barondeau, professeur agrégé au Département de management et technologie de l’École des sciences de la gestion de l’UQAM.

La veille organisationnelle

Quand on parle d’objets intelligents, nous pensons tout de suite à un aspirateur robot, une brosse à dent intelligente ou bien à notre téléphone intelligent, mais dans le monde des affaires, quelle forme prend l’Internet des objets (IdO/IoT)?   

Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Ygal Bendavid, directeur du Laboratoire d’Internet des objets (IdO/IoT) et professeur au Département d’analytique, opérations et technologies de l’information de l’ESG UQAM. 

Quand on parle d&rsquo;objets intelligents, nous pensons tout de suite &agrave; un aspirateur robot, une brosse &agrave; dent intelligente ou bien &agrave; notre t&eacute;l&eacute;phone intelligent, mais dans le monde des affaires, quelle forme prend l&rsquo;Internet des objets&nbsp;(IdO/IoT)?&nbsp;&nbsp;&nbsp;
Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec&nbsp;Ygal&nbsp;Bendavid, directeur du&nbsp;Laboratoire&nbsp;d&rsquo;Internet des objets&nbsp;(IdO/IoT)&nbsp;et professeur au&nbsp;D&eacute;partement d&rsquo;analytique, op&eacute;rations et technologies de l&rsquo;information de l&rsquo;ESG UQAM.&nbsp;

Quand on parle d’objets intelligents, nous pensons tout de suite à un aspirateur robot, une brosse à dent intelligente ou bien à notre téléphone intelligent, mais dans le monde des affaires, quelle forme prend l’Internet des objets (IdO/IoT)?     Entrevue de la journaliste Anne-Sophie Roy avec Ygal Bendavid, directeur du Laboratoire d’Internet des objets (IdO/IoT) et professeur au Département d’analytique, opérations et technologies de l’information de l’ESG UQAM.

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