La rencontre Nadeau-Robitaille avec Rémi Nadeau, chef de bureau parlementaire à l’Assemblée nationale pour le Journal et le Journal : analyse sportive de la période de question,

La rencontre Nadeau-Robitaille avec R&eacute;mi Nadeau, chef de bureau parlementaire &agrave; l&rsquo;Assembl&eacute;e nationale pour le Journal et le Journal : analyse sportive de la p&eacute;riode de question,

Antoine Robitaille donne accès aux coulisses de l’Assemblée nationale. Extraits des grands débats, déclarations surprenantes et lapsus, la politique n’aura jamais été aussi accessible et divertissante.  Partagez vos réactions avec Antoine par courriel : robitaille@qub.radio

Antoine Robitaille donne accès aux coulisses de l’Assemblée nationale. Extraits des grands débats, déclarations surprenantes et lapsus, la politique n’aura jamais été aussi accessible et divertissante.  Partagez vos réactions avec Antoine par courriel : robitaille@qub.radio

Antoine Robitaille

Antoine Robitaille - Segments

Anglade n’accuse plus Legault d’être responsable de la mort d’un homme en Abitibi, note Rémi Nadeau

Dans cet épisode intégral du 3 mai, en entrevue : 
Jonathan Durand Folco, professeur à l’Université Saint-Paul et Jérôme Lussier, Directeur des affaires parlementaires au Sénat
Patrick Taillon, notre chroniqueur constitutionnel et accessoirement professeur de droit à l’université Laval
Nicolas Lachance et Patrick Bellerose, correspondants du Bureau parlementaire, et leur patron, le CHEF de ce bureau, Rémi Nadeau

Une production QUB

Mai 2024

Dans cet épisode intégral du 3 mai, en entrevue : 
<ul>
<li>Jonathan Durand Folco, professeur à l’Université Saint-Paul et Jérôme Lussier, Directeur des affaires parlementaires au Sénat</li>
<li>Patrick Taillon, notre chroniqueur constitutionnel et accessoirement professeur de droit à l’université Laval</li>
<li>Nicolas Lachance et Patrick Bellerose, correspondants du Bureau parlementaire, et leur patron, le CHEF de ce bureau, Rémi Nadeau</li>
</ul>
Une production QUB
Mai 2024

Épisode vendredi 3 mai  | GND, le judoka politique

Invités: Nicolas Lachance et Patrick Bellerose, correspondants du Bureau parlementaire, et leur patron, le CHEF de ce bureau, Rémi Nadeau
Trois sujets aujourd'hui. L'agence des Transports sera très petite et ne s'occupera que du «collectif». On est loin de l'agence que voulait créer Sylvain Gaudreault ou de l'Agence de la Santé. Parlant de celle-ci, la première semaine de la «top gun» n'a pas été facile. Comme la semaine de QS, malgré le judo que GND a réussi à faire avec la crise. Et cela risque d'être dommageable pour le parti, en définitive.

Invités: Nicolas Lachance et Patrick Bellerose, correspondants du Bureau parlementaire, et leur patron, le CHEF de ce bureau, Rémi Nadeau Trois sujets aujourd'hui. L'agence des Transports sera très petite et ne s'occupera que du «collectif». On est loin de l'agence que voulait créer Sylvain Gaudreault ou de l'Agence de la Santé. Parlant de celle-ci, la première semaine de la «top gun» n'a pas été facile. Comme la semaine de QS, malgré le judo que GND a réussi à faire avec la crise. Et cela risque d'être dommageable pour le parti, en définitive.

Le festival des Agences à Québec, après celle de la Santé, une micro-agence des Transports

Patrick Taillon, notre chroniqueur constitutionnel et accessoirement professeur de droit à l’université Laval


La loi 96 a été adoptée en 2022 pour réformer de fond en comble la Charte de la langue française. Le juge Dennis Galiatsatos s'est attaqué à cette loi cette semaine parce qu'elle l’oblige à produire une version française de son jugement. zMême si aucun procureur n'était d'accord, il a décidé quand même de s'en prendre à la loi ! Cela fut contesté par les procureurs généraux du Québec et du Canada, à l'unisson. Galiatsatos pourrait-il faire l'objet d'une plainte devant le Conseil de la magistrature?

Patrick Taillon, notre chroniqueur constitutionnel et accessoirement professeur de droit à l’université Laval
 La loi 96 a été adoptée en 2022 pour réformer de fond en comble la Charte de la langue française. Le juge Dennis Galiatsatos s'est attaqué à cette loi cette semaine parce qu'elle l’oblige à produire une version française de son jugement. zMême si aucun procureur n'était d'accord, il a décidé quand même de s'en prendre à la loi ! Cela fut contesté par les procureurs généraux du Québec et du Canada, à l'unisson. Galiatsatos pourrait-il faire l'objet d'une plainte devant le Conseil de la magistrature?

Anglade n’accuse plus Legault d’être responsable de la mort d’un homme en Abitibi, note Rémi Nadeau

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