Un nouveau développement majeur intervient dans le retrait des forces françaises du Tchad, avec une injonction de N’Djamena exigeant leur départ avant le 31 janvier. Cette demande survient environ deux semaines après la rupture des accords de défense et de coopération militaire entre les deux pays.
Les autorités militaires françaises considèrent ce délai comme irréaliste, soulignant l’impossibilité logistique de désengager mille soldats et leur matériel en seulement sept semaines.
. Les autorités tchadiennes, ont rejeté une première proposition de retrait s’étendant jusqu’en mars, la jugeant trop étalée dans le temps. Malgré ces divergences, les négociations se poursuivent dans un climat constructif selon les deux parties.
Pour en parler, nous sommes en ligne avec AbdelKerim Koundougouni, leader du mouvement politique Le Pacte des Bâtisseurs.