Lancement ce 15 Octobre de la Conférence mondiale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (CICR en sigle) sur l'identification du personnel militaire à Pretoria. Cet événement inédit réunit plus de 60 représentants des forces armées nationales de plus de 40 pays. Cette conférence se tient en collaboration avec les forces armées d’Afrique du Sud pour garantir la dignité de la mort et soutenir les familles.  

Mme Caroline Douilliez, Cheffe du  service consultatif de l'Agence Centrale de Recherches du CICR et du Centre des personnes disparues de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge est en ligne.

Lancement ce 15 Octobre de la Conférence mondiale de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (CICR en sigle) sur l'identification du personnel militaire à Pretoria. Cet événement inédit réunit plus de 60 représentants des forces armées nationales de plus de 40 pays. Cette conférence se tient en collaboration avec les forces armées d’Afrique du Sud pour garantir la dignité de la mort et soutenir les familles.  
Mme Caroline Douilliez, Cheffe du  service consultatif de l'Agence Centrale de Recherches du CICR et du Centre des personnes disparues de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge est en ligne.

Current Affairs featuring various segments.

Current Affairs featuring various segments.

Vues d’Afrique (French)

CICR

Près de 41 milliards de dollars de financement climatique de la Banque mondiale – soit près de 40 % de tous les fonds climatiques décaissés par la Banque au cours des sept dernières années – sont portés disparus en raison de mauvaises pratiques de tenue de registres, révèle un nouveau rapport d'Oxfam publié aujourd'hui  

 Il n’existe aucun document public clair indiquant où est allé cet argent ni comment il a été utilisé, ce qui rend impossible toute évaluation de ses impacts. On ne sait pas non plus si ces fonds ont été dépensés pour des initiatives liées au climat destinées à aider les pays à revenu faible ou intermédiaire à protéger leurs populations des impacts de la crise climatique et à investir dans les énergies propres. 

Pour parler de cette disparition, nous sommes en direct avec Moumouni Compaoré, chargé de plaidoyer pour Oxfam au Burkina Faso et spécialise en justice climatique. 

Près de 41 milliards de dollars de financement climatique de la Banque mondiale – soit près de 40 % de tous les fonds climatiques décaissés par la Banque au cours des sept dernières années – sont portés disparus en raison de mauvaises pratiques de tenue de registres, révèle un nouveau rapport d'Oxfam publié aujourd'hui  
 Il n’existe aucun document public clair indiquant où est allé cet argent ni comment il a été utilisé, ce qui rend impossible toute évaluation de ses impacts. On ne sait pas non plus si ces fonds ont été dépensés pour des initiatives liées au climat destinées à aider les pays à revenu faible ou intermédiaire à protéger leurs populations des impacts de la crise climatique et à investir dans les énergies propres. 
Pour parler de cette disparition, nous sommes en direct avec Moumouni Compaoré, chargé de plaidoyer pour Oxfam au Burkina Faso et spécialise en justice climatique.

OXFAM

Des témoignages accablants révèlent que les soldats de la Minusca en Centrafrique continuent de perpétrer des violences sexuelles ; ce en dépit des efforts déclarés par cette mission des nations unies en Centrafrique pour lutter contre ces abus sexuels perpétrés par ses soldats. Sur les 730 soldats accusés d’abus depuis 2015, très peu ont été sanctionnés 

En effet, une enquête menée par Le Monde et The New Humanitarian met en lumière les récits poignants de femmes brisées par ces agressions, face à une impunité troublante et un manque criant de soutien. L’enquête dévoile une crise humaine profonde, marquée par des femmes abandonnées à leur sort, dans l’indifférence générale. Il est impératif que des actions concrètes soient prises pour protéger les plus vulnérables et mettre fin à cette culture d’impunité. 

Pour évoquer cette enquête, nous sommes en ligne de Bangui avec Ben Ngassan, politicien et analyste politique. 

Des témoignages accablants révèlent que les soldats de la Minusca en Centrafrique continuent de perpétrer des violences sexuelles ; ce en dépit des efforts déclarés par cette mission des nations unies en Centrafrique pour lutter contre ces abus sexuels perpétrés par ses soldats. Sur les 730 soldats accusés d’abus depuis 2015, très peu ont été sanctionnés 
En effet, une enquête menée par Le Monde et The New Humanitarian met en lumière les récits poignants de femmes brisées par ces agressions, face à une impunité troublante et un manque criant de soutien. L’enquête dévoile une crise humaine profonde, marquée par des femmes abandonnées à leur sort, dans l’indifférence générale. Il est impératif que des actions concrètes soient prises pour protéger les plus vulnérables et mettre fin à cette culture d’impunité. 
Pour évoquer cette enquête, nous sommes en ligne de Bangui avec Ben Ngassan, politicien et analyste politique.

L’activistefranco-béninois Kemi Seba a été arrêté lundi par la police française à sa sortie d’un restaurant parisien. En provenance d’Espagne, le militant panafricaniste est entré sur le territoire français avec son passeport diplomatique nigérien. Selon certaines sources, il lui est reproché une entrée illégale sur le territoire français. Ni le ministère de l’Intérieur ni la Police française n’ont réagi à cette interpellation. 

Figure du mouvement Panafricaniste, Kemi Seba était dans le viseur des autorités françaises depuis de nombreuses années. Cette année, il a été déchu de sa nationalité française,  Paris l’ayant accusé de porter atteinte aux intérêts français en Afrique.  

Pour évoquer cette affaire, nous sommes en ligne avec Ali Alihou, activiste politique et défenseur des droits de l’homme. 

L’activiste franco-béninois Kemi Seba a été arrêté lundi par la police française à sa sortie d’un restaurant parisien. En provenance d’Espagne, le militant panafricaniste est entré sur le territoire français avec son passeport diplomatique nigérien. Selon certaines sources, il lui est reproché une entrée illégale sur le territoire français. Ni le ministère de l’Intérieur ni la Police française n’ont réagi à cette interpellation. 
Figure du mouvement Panafricaniste, Kemi Seba était dans le viseur des autorités françaises depuis de nombreuses années. Cette année, il a été déchu de sa nationalité française,  Paris l’ayant accusé de porter atteinte aux intérêts français en Afrique.  
Pour évoquer cette affaire, nous sommes en ligne avec Ali Alihou, activiste politique et défenseur des droits de l’homme.

CICR

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