Les dernières années ont été éprouvantes pour les Montréalais, la violence fait rage dans plusieurs quartiers, les fusillades se multiplient et les victimes sont nombreuses. Nous avons rencontré des travailleurs de rue œuvrant à Anjou, Rivière-des-Prairies et Montréal-Nord. Des gens qui ont à coeur leur environnement et surtout les jeunes. Bien qu'elle soit davantage derrière nous, la pandémie a été évoquée pour expliquer la recrudescence de la violence dans les rues de la métropole. Les problèmes de santé mentale, la fausse réalité des réseaux sociaux et la désensibilisation à la violence sont aussi des facteurs aggravants qui expliquent en partie la situation actuelle. Évidemment, la hausse du coût de la vie dans des quartiers socio-économiquement plus faibles, ça ne fait qu'empirer les choses.

Les derni&egrave;res ann&eacute;es ont &eacute;t&eacute; &eacute;prouvantes pour les Montr&eacute;alais, la violence fait rage dans plusieurs quartiers, les fusillades se multiplient et les victimes sont nombreuses. Nous avons rencontr&eacute; des travailleurs de rue &oelig;uvrant &agrave; Anjou, Rivi&egrave;re-des-Prairies et Montr&eacute;al-Nord. Des gens qui ont &agrave; coeur leur environnement et surtout les jeunes. Bien qu'elle soit davantage derri&egrave;re nous, la pand&eacute;mie a &eacute;t&eacute; &eacute;voqu&eacute;e pour expliquer la recrudescence de la violence dans les rues de la m&eacute;tropole. Les probl&egrave;mes de sant&eacute; mentale, la fausse r&eacute;alit&eacute; des r&eacute;seaux sociaux et la d&eacute;sensibilisation &agrave; la violence sont aussi des facteurs aggravants qui expliquent en partie la situation actuelle. &Eacute;videmment, la hausse du co&ucirc;t de la vie dans des quartiers socio-&eacute;conomiquement plus faibles, &ccedil;a ne fait qu'empirer les choses.

Les travailleurs de rue font un travail considérable pour prévenir la violence dans les rues de Montréal. Ils sont toujours présents, disponibles, prêts à intervenir auprès des jeunes pour faire baisser la tension, alors que les événements violents avec armes à feu ont augmenté au cours des dernières années dans la métropole.

Valérie Lebeuf, accompagnée de son collègue Mario G. Langlois a tenté de comprendre leur réalité en rencontrant des travailleurs de rue des arrondissements Anjou, Rivière-des-Prairies et Montréal-Nord.

Les travailleurs de rue font un travail consid&eacute;rable pour pr&eacute;venir la violence dans les rues de Montr&eacute;al. Ils sont toujours pr&eacute;sents, disponibles, pr&ecirc;ts &agrave; intervenir aupr&egrave;s des jeunes pour faire baisser la tension, alors que les &eacute;v&eacute;nements violents avec armes &agrave; feu ont augment&eacute; au cours des derni&egrave;res ann&eacute;es dans la m&eacute;tropole.
Val&eacute;rie Lebeuf, accompagn&eacute;e de son coll&egrave;gue Mario G. Langlois a tent&eacute; de comprendre leur r&eacute;alit&eacute; en rencontrant des travailleurs de rue des arrondissements Anjou, Rivi&egrave;re-des-Prairies et Montr&eacute;al-Nord.

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