Le plus en plus de propriétaires de bâtiments abandonnés de Montréal sont inquiets face à la montée en popularité de l’exploration urbaine, presque toujours clandestine, qui attire beaucoup de jeunes. Ce phénomène, c’est « l’urbex », on en parle avec un « retraité » de la profession.
Entrevue avec Jarold Dumouchel, photographe, vidéaste et ancien adepte d’Urbex.