Les Québécois atteints d’un cancer patientent en moyenne cinq mois avant d’obtenir leur premier traitement, rapportait le Journal de Montréal l’autre jour. Dans une lettre ouverte aujourd’hui, la Fondation québécoise du cancer dénonce cette situation intenable pour les citoyens et demande enfin de l’imputabilité dans le réseau.
Entrevue avec Marco Décelles, directeur général de la Fondation québécoise du cancer.