Quand il est question de programmes courts pour former des futurs enseignants et les aider à obtenir leur brevet, comme celui offert à la TÉLUQ, est-ce deux poids, deux mesures ? Un chargé d’encadrement du programme vient défendre le bilan de celui-ci et dénonce le fait que l'on critique ce programme tout en louant les programmes « traditionnels » qui mènent pourtant à des résultats tout aussi mitigés.
Entrevue avec David Santarossa, chargé d’encadrement à la TÉLUQ et auteur.