MIDROLL

Au cours des dernières années, les femmes autochtones se sont retrouvées à l’avant-plan de nombreux mouvements de revendications pour la reconnaissance des droits des premiers peuples. Malgré le rôle crucial qu’elles ont joué pour mettre en lumière certains enjeux propres à leurs communautés, de nombreuses femmes autochtones rejettent complètement la notion de féminisme. Pourquoi? Vanessa en discute avec Widia Larivière, activiste autochtone et co-instigatrice de la branche québécoise du mouvement Idle No More.

<p>Au cours des derni&egrave;res ann&eacute;es, les femmes autochtones se sont retrouv&eacute;es &agrave; l&rsquo;avant-plan de nombreux mouvements de revendications pour la reconnaissance des droits des premiers peuples. Malgr&eacute; le r&ocirc;le crucial qu&rsquo;elles ont jou&eacute; pour mettre en lumi&egrave;re certains enjeux propres &agrave; leurs communaut&eacute;s, de nombreuses femmes autochtones rejettent compl&egrave;tement la notion de f&eacute;minisme. Pourquoi? Vanessa en discute avec Widia Larivi&egrave;re, activiste autochtone et co-instigatrice de la branche qu&eacute;b&eacute;coise du mouvement Idle No More.</p>

Vanessa Destiné et Dalila Awada, deux Québécoises presque de souche, font le pari de parler des enjeux liés à la diversité en partant du point de vue des personnes racisées. Des discussions franches sur des sujets qui déménagent. À force de témoignages, d'anecdotes, d'entrevues et de débats, Vanessa et Dalila offrent leur compréhension d'un Québec de plus en plus métissé.

<p>Vanessa Destin&eacute; et Dalila Awada, deux Qu&eacute;b&eacute;coises presque de souche, font le pari de parler des enjeux li&eacute;s &agrave; la diversit&eacute; en partant du point de vue des personnes racis&eacute;es. Des discussions franches sur des sujets qui d&eacute;m&eacute;nagent. &Agrave; force de t&eacute;moignages, d'anecdotes, d'entrevues et de d&eacute;bats, Vanessa et Dalila offrent leur compr&eacute;hension d'un Qu&eacute;bec de plus en plus m&eacute;tiss&eacute;.</p>

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