On leur avait promis qu’on récompenserait leur sacrifice d’avoir travaillé dans le système de santé au plus fort de la pandémie. Mais quatre ans après le lancement du programme des anges gardiens, des centaines de demandeurs d’asile dont le dossier répondait aux critères attendent toujours leur résidence permanente.
Entrevue avec Stéphane Handfield, avocat en immigration et co-porte-parole en immigration du Parti québécois.