Malgré le fait qu’il ait passé huit ans de sa vie dans une prison thaïlandaise, condamné à mort pour une histoire de trafic d’héroïne, Alain Olivier n’est pas un narcotrafiquant. Son histoire ressemble plutôt à un récit d’erreur sur la personne et à une opération policière mal menée qui a brisé des vies.