L’Association nationale des éditeurs de livres et ses partenaires ne veulent pas que les entreprises qui développent des intelligences artificielles génératives bénéficient d’une exception à la Loi sur le droit d’auteur et rappellent que leurs membres souffrent encore de l’exception accordée au domaine de l’éducation en 2012.
Entrevue avec Stéphanie Hénault, directrice des affaires juridiques de l’Association nationale des éditeurs de livres.