Entrevue avec Benoît Mâsse, chef de l’Unité de recherche clinique appliquée au CHU Sainte-Justine et professeur de santé publique de l’Université de Montréal : M. Mâsse estime que le gouvernement aurait dû lancer les mesures du mois d’octobre 4 semaines plus tôt pour ralentir la deuxième vague.