Chronique de Nicole Gibeault, juge à la retraite : des contrevenants au couvre-feu partout au Québec. Une Montréalaise accusée d’avoir tué au couteau son conjoint vivait dans une relation « toxique » et se disait victime de violence conjugale, a-t-il été révélé lundi, à l’ouverture de son procès. Michel Chicoine comparaît aujourd’hui.

<p>Chronique de Nicole Gibeault, juge &agrave; la retraite : des contrevenants au couvre-feu partout au Qu&eacute;bec. Une Montr&eacute;alaise accus&eacute;e d&rsquo;avoir tu&eacute; au couteau son conjoint vivait dans une relation &laquo; toxique &raquo; et se disait victime de violence conjugale, a-t-il &eacute;t&eacute; r&eacute;v&eacute;l&eacute; lundi, &agrave; l&rsquo;ouverture de son proc&egrave;s. Michel Chicoine compara&icirc;t aujourd&rsquo;hui.</p>

Geneviève Pettersen est branchée sur les tendances sociales de notre époque. Drôle, brillante et sans filtre, elle a toujours le dernier mot sauf peut-être avec ses collaborateurs effrontés.

<p>Genevi&egrave;ve Pettersen est branch&eacute;e sur les tendances sociales de notre &eacute;poque. Dr&ocirc;le, brillante et sans filtre, elle a toujours le dernier mot sauf peut-&ecirc;tre avec ses collaborateurs&nbsp;effront&eacute;s.</p>

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