À l'occasion de sa revue de presse, mardi matin, Paul Arcand aborde les découvertes de la Commission Gallant sur SAAQclic qui représente, selon lui, un immense scandale qui dure depuis des années.

«C'est pire que tout ce qu'on avait imaginé. Je me demande si les révélations ne sont pas plus assommantes que ce qu'on avait appris lors des travaux de la Commission Charbonneau. [...] On a flambé plus d'un milliard pour une cochonnerie, pour un produit qui fonctionne tout croche. [...] Au moins, Monsieur Trottoir, Monsieur Milioto, faisait des trottoirs de qualité. Au moins, Tony Accurso faisait des travaux de qualité. Il était "on time" et "on budget" comme il disait à la commission.»

Paul Arcand explique avec un brin d'ironie qu'au moins, lors du scandale de la construction: «on a payé cher, mais au moins ça fonctionnait», alors que dans le cas de la SAAQ, on a eu droit à un naufrage complet. Il ne mâche d'ailleurs pas ses mots à l'endroit du conseil d'administration.

Il se demande aussi pourquoi l'UPAC ne réactive pas ses enquêtes à propos de ce fiasco.

Autres sujets traités:
Le débat sur l’immigration est relancé;
Les gens de Québec veulent le troisième lien;
Le café, c’est bon pour la santé;
Mario Pelchat ne peut pas chanter dans son vignoble.

&Agrave; l'occasion de sa revue de presse, mardi matin, Paul Arcand aborde les d&eacute;couvertes de la Commission Gallant sur SAAQclic qui repr&eacute;sente, selon lui, un immense scandale qui dure depuis des ann&eacute;es.
&laquo;C'est pire que tout ce qu'on avait imagin&eacute;. Je me demande si les r&eacute;v&eacute;lations ne sont pas plus assommantes que ce qu'on avait appris lors des travaux de la Commission Charbonneau. [...] On a flamb&eacute; plus d'un milliard pour une cochonnerie, pour un produit qui fonctionne tout croche. [...] Au moins, Monsieur Trottoir, Monsieur Milioto, faisait des trottoirs de qualit&eacute;. Au moins, Tony Accurso faisait des travaux de qualit&eacute;. Il &eacute;tait "on time" et "on budget" comme il disait &agrave; la commission.&raquo;
Paul Arcand explique avec un brin d'ironie qu'au moins, lors du scandale de la construction: &laquo;on a pay&eacute; cher, mais au moins &ccedil;a fonctionnait&raquo;, alors que dans le cas de la SAAQ, on a eu droit &agrave; un naufrage complet. Il ne m&acirc;che d'ailleurs pas ses mots &agrave; l'endroit du conseil d'administration.
Il se demande aussi pourquoi l'UPAC ne r&eacute;active pas ses enqu&ecirc;tes &agrave; propos de ce fiasco.
Autres sujets trait&eacute;s:
<ul>
<li>Le d&eacute;bat sur l&rsquo;immigration est relanc&eacute;;</li>
<li>Les gens de Qu&eacute;bec veulent le troisi&egrave;me lien;</li>
<li>Le caf&eacute;, c&rsquo;est bon pour la sant&eacute;;</li>
<li>Mario Pelchat ne peut pas chanter dans son vignoble.</li>
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Paul Arcand commente l’actualité dans ce balado disponible dès 6 h, du lundi au vendredi. 

Paul Arcand commente l&rsquo;actualit&eacute; dans ce balado disponible d&egrave;s 6 h, du lundi au vendredi.&nbsp;

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