Dans une longue entrevue, le premier ministre du Québec, François Legault, répond aux questions de Paul Arcand.

Malgré les sondages qui montrent une insatisfaction dans le tapis, il écarte toute idée de démission. «Je suis là pour gagner» en 2026, souligne-t-il.

François Legault croit être l'homme de la situation face aux «défis critiques» à venir, notamment en raison de l'incertitude économique liée à Donald Trump.

Sur le plan économique, François Legault défend son bilan, admettant toutefois avoir «fait des erreurs» sur certains dossiers. Il soutient que le Québec s'est mieux tiré d'affaires que le reste du Canada, affirmant que «sur 7 ans, on a battu tous les indicateurs de l’Ontario, sauf l’augmentation du prix des maisons».

Le premier ministre livre aussi un message ferme sur les questions identitaires, déclarant que «les Québécois n’aiment pas ça voir des hommes à genoux faire une prière de rue, ce n'est pas ça le Québec».

Dans cet entretien, il se prononce aussi sur l’immigration. Selon lui, il y a trop d’immigrants à Montréal et notre capacité de les accueillir est dépassée.

Dans une longue entrevue, le premier ministre du Qu&eacute;bec, Fran&ccedil;ois Legault, r&eacute;pond aux questions de Paul Arcand.
Malgr&eacute; les sondages qui montrent une insatisfaction dans le tapis, il &eacute;carte toute id&eacute;e de d&eacute;mission. &laquo;Je suis l&agrave; pour gagner&raquo; en 2026, souligne-t-il.
Fran&ccedil;ois Legault croit &ecirc;tre l'homme de la situation face aux &laquo;d&eacute;fis critiques&raquo; &agrave; venir, notamment en raison de l'incertitude &eacute;conomique li&eacute;e &agrave; Donald Trump.
Sur le plan &eacute;conomique, Fran&ccedil;ois Legault d&eacute;fend son bilan, admettant toutefois avoir &laquo;fait des erreurs&raquo; sur certains dossiers. Il soutient que le Qu&eacute;bec s'est mieux tir&eacute; d'affaires que le reste du Canada, affirmant que &laquo;sur 7 ans, on a battu tous les indicateurs de l&rsquo;Ontario, sauf l&rsquo;augmentation du prix des maisons&raquo;.
Le premier ministre livre aussi un message ferme sur les questions identitaires, d&eacute;clarant que &laquo;les Qu&eacute;b&eacute;cois n&rsquo;aiment pas &ccedil;a voir des hommes &agrave; genoux faire une pri&egrave;re de rue, ce n'est pas &ccedil;a le Qu&eacute;bec&raquo;.
Dans cet entretien, il se prononce aussi sur l&rsquo;immigration. Selon lui, il y a trop d&rsquo;immigrants &agrave; Montr&eacute;al et notre capacit&eacute; de les accueillir est d&eacute;pass&eacute;e.

Paul Arcand commente l’actualité dans ce balado disponible dès 6 h, du lundi au vendredi. 

Paul Arcand commente l&rsquo;actualit&eacute; dans ce balado disponible d&egrave;s 6 h, du lundi au vendredi.&nbsp;

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