À l'occasion de sa revue de presse mercredi, Paul Arcand réagit au dépôt du budget du ministre des Finances du Québec, Eric Girard.

Un budget marqué par un déficit historique d'au moins 13,6 milliards pour l'année à venir, dans un contexte de hausse des tarifs douaniers imposés par le président américain Donald Trump.

«Ce qu'Eric Girard nous propose, ce sont des chiffres préliminaires, des hypothèses, des variables qui peuvent changer à tout moment. Ce sont des projections assez optimistes du futur, selon les analystes. Et ce futur dépend beaucoup, beaucoup de Donald Trump.»

Pour le reste, Paul Arcand estime que le gouvernement, avec cet exercice budgétaire, évite de répondre aux vraies questions et refuse d'avoir une «discussion franche et honnête» sur les finances de l'État.

«Dans le fond, aucun débat réel. On préfère, comme toujours, se mettre la tête dans le sable et ne pas regarder la réalité en face. A-t-on encore les moyens de se payer notre système de santé? On vieillit collectivement et les traitements coûtent cher.»

Autres sujets abordés
Québec pige un peu dans vos poches;
Tous les ministères devront sabrer dans les dépenses;
Mark Carney n'ira pas au débat de TVA;
Campagne électorale: l’ingérence étrangère et les taxes;
Procès de Gérard Depardieu: deux versions des faits complètement différentes.

&Agrave; l'occasion de sa revue de presse mercredi, Paul Arcand r&eacute;agit au d&eacute;p&ocirc;t du budget du ministre des Finances du Qu&eacute;bec, Eric Girard.
Un budget marqu&eacute; par un d&eacute;ficit historique d'au moins 13,6 milliards pour l'ann&eacute;e &agrave; venir, dans un contexte de hausse des tarifs douaniers impos&eacute;s par le pr&eacute;sident am&eacute;ricain Donald Trump.
&laquo;Ce qu'Eric Girard nous propose, ce sont des chiffres pr&eacute;liminaires, des hypoth&egrave;ses, des variables qui peuvent changer &agrave; tout moment. Ce sont des projections assez optimistes du futur, selon les analystes. Et ce futur d&eacute;pend beaucoup, beaucoup de Donald Trump.&raquo;
Pour le reste, Paul Arcand estime que le gouvernement, avec cet exercice budg&eacute;taire, &eacute;vite de r&eacute;pondre aux vraies questions et refuse d'avoir une &laquo;discussion franche et honn&ecirc;te&raquo; sur les finances de l'&Eacute;tat.
&laquo;Dans le fond, aucun d&eacute;bat r&eacute;el. On pr&eacute;f&egrave;re, comme toujours, se mettre la t&ecirc;te dans le sable et ne pas regarder la r&eacute;alit&eacute; en face. A-t-on encore les moyens de se payer notre syst&egrave;me de sant&eacute;? On vieillit collectivement et les traitements co&ucirc;tent cher.&raquo;
Autres sujets abord&eacute;s
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<li>Qu&eacute;bec pige un peu dans vos poches;</li>
<li>Tous les minist&egrave;res devront sabrer dans les d&eacute;penses;</li>
<li>Mark Carney n'ira pas au d&eacute;bat de TVA;</li>
<li>Campagne &eacute;lectorale: l&rsquo;ing&eacute;rence &eacute;trang&egrave;re et les taxes;</li>
<li>Proc&egrave;s de G&eacute;rard Depardieu: deux versions des faits compl&egrave;tement diff&eacute;rentes.</li>
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Paul Arcand commente l’actualité dans ce balado disponible dès 6 h, du lundi au vendredi. 

Paul Arcand commente l&rsquo;actualit&eacute; dans ce balado disponible d&egrave;s 6 h, du lundi au vendredi.&nbsp;

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