 

La procureure générale Gali Baharav-Miara accuse désormais Itamar Ben Gvir de saper l’indépendance opérationnelle de la police, au point d’en faire un principe « vidé de sa substance ».
Elle estime que l’inaction du Premier ministre pourrait, juridiquement, justifier une demande de révocation du ministre.

Un avertissement institutionnel rarissime.
Et un séisme potentiel au sommet de l’État.

Décryptage avec maître Alexandre Bensoussan, spécialiste du contentieux et du droit public israélien.

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La procureure g&eacute;n&eacute;rale Gali Baharav-Miara accuse d&eacute;sormais Itamar Ben Gvir de saper l&rsquo;ind&eacute;pendance op&eacute;rationnelle de la police, au point d&rsquo;en faire un principe &laquo; vid&eacute; de sa substance &raquo;. Elle estime que l&rsquo;inaction du Premier ministre pourrait, juridiquement, justifier une demande de r&eacute;vocation du ministre.
Un avertissement institutionnel rarissime. Et un s&eacute;isme potentiel au sommet de l&rsquo;&Eacute;tat.
D&eacute;cryptage avec ma&icirc;tre Alexandre Bensoussan, sp&eacute;cialiste du contentieux et du droit public isra&eacute;lien.

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