S’il y a encore quelques années, le cinéma français était encore rare en Israël, ce n'est plus le cas aujourd'hui puisque celui-ci est non seulement de mieux en mieux distribué, et que plusieurs festivals lui accordent une place de choix, voire lui consacrent le premier rôle. Si cela est possible aujourd'hui, c'est grace en partie à Caroline Bonnet, qui oeuvre à développer cette tendance. Yoram Salamon l'a rencontré pour l’interviewer dans son milieu naturel, la où semble t’il elle évolue le mieux, les bureaux de sa société Eden Cinéma dans le sud de Tel Aviv.

<p>S&rsquo;il y a encore quelques ann&eacute;es, le cin&eacute;ma fran&ccedil;ais &eacute;tait encore rare en Isra&euml;l, ce n'est plus le cas aujourd'hui puisque celui-ci est non seulement de mieux en mieux distribu&eacute;, et que plusieurs festivals lui accordent une place de choix, voire lui consacrent le premier r&ocirc;le. Si cela est possible aujourd'hui, c'est grace en partie &agrave; Caroline Bonnet, qui oeuvre &agrave; d&eacute;velopper cette tendance. Yoram Salamon l'a rencontr&eacute; pour l&rsquo;interviewer dans son milieu naturel, la o&ugrave; semble t&rsquo;il elle &eacute;volue le mieux, les bureaux de sa soci&eacute;t&eacute; Eden Cin&eacute;ma dans le sud de Tel Aviv.</p>

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