Fauda ou Hatufim pour ne citer que celles-ci ont fait le tour de la planète. Réadaptées ou traduites, les séries israéliennes déclenchent de plus en plus de ferveur à l'international, et font d'un tout petit pays un acteur sur lequel le monde des séries compte de plus en plus. Afin d’étayer ce constat, Yaelle Munk, Maître de Conférences en Cinématographie à l'Université de Tel Aviv nous en dit plus sur ce qui n'est semble t-il pas qu'un phénomène de mode... Au micro de Yoram Salamon

<p>Fauda ou Hatufim pour ne citer que celles-ci ont fait le tour de la plan&egrave;te. R&eacute;adapt&eacute;es ou traduites, les s&eacute;ries isra&eacute;liennes d&eacute;clenchent de plus en plus de ferveur &agrave; l'international, et font d'un tout petit pays un acteur sur lequel le monde des s&eacute;ries compte de plus en plus. Afin d&rsquo;&eacute;tayer ce constat, Yaelle Munk, Ma&icirc;tre de Conf&eacute;rences en Cin&eacute;matographie &agrave; l'Universit&eacute; de Tel Aviv nous en dit plus sur ce qui n'est semble t-il pas qu'un ph&eacute;nom&egrave;ne de mode... Au micro de Yoram Salamon</p>

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