Le ministre des Finances promet une réforme ambitieuse : ouvrir la concurrence bancaire, briser les monopoles, faire baisser le coût de la vie.
L’opposition y voit un texte dangereux, susceptible d’affaiblir la classe moyenne et d’accentuer les inégalités.
Entre discours politique et réalité économique, que faut-il croire ?
Avec Gilles Bellaïche, nous analysons ce qui pourrait réellement changer pour les Israéliens.