GESTIONNAIRES EN ACTION. Avec la spirale inflationniste et les hausses de taux directeur, les marchés boursiers nord-américains ont la vie dure depuis le début de l'année.

Si le recul de l'indice américain S&P 500 est de loin supérieur à celui du S&P/TSX à Toronto, c'est en grande partie en raison de la forte pondération de ce dernier en titres énergétiques et parce que le secteur bancaire canadien a pu, à ce jour, éviter le pire, selon Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille chez Claret.

Ce dernier précise qu'il ne faut pas oublier que le recul de 10%-12% du S&P 500 doit être vu comme une moyenne. Cela signifie que certains titres ont subi un repli beaucoup plus important, ce qui crée des occasions d'achat sur les marchés boursiers. Cela fait en sorte que les investisseurs individuels qui dorment sur des montants importants en liquidités devraient penser à les déployer, croit-il.

En ce sens, Vincent Fournier voit d'un bon oeil la déclaration de Warren Buffett survenue le 30 avril. À ce moment, le milliardaire a dit avoir investi plus de 50 milliards de dollars américains des liquidités de Berkshire Hathaway en Bourse durant le premier trimestre. «Si ça vaut pour Warren Buffett, ça vaut aussi pour les investisseurs individuels», dit-il.

Selon Vincent Fournier, la clé du succès réside dans la capacité des investisseurs à rééquilibrer leurs portefeuilles.

 

GESTIONNAIRES EN ACTION. Avec la spirale inflationniste et les hausses de taux directeur, les march&eacute;s boursiers nord-am&eacute;ricains ont la vie dure depuis le d&eacute;but de l'ann&eacute;e.
Si le recul de l'indice am&eacute;ricain S&amp;P 500 est de loin sup&eacute;rieur &agrave; celui du S&amp;P/TSX &agrave; Toronto, c'est en grande partie en raison de la forte pond&eacute;ration de ce dernier en titres &eacute;nerg&eacute;tiques et parce que le secteur bancaire canadien a pu, &agrave; ce jour, &eacute;viter le pire, selon Vincent Fournier, gestionnaire de portefeuille chez Claret.
Ce dernier pr&eacute;cise qu'il ne faut pas oublier que le recul de 10%-12% du S&amp;P 500 doit &ecirc;tre vu comme une moyenne. Cela signifie que certains titres ont subi un repli beaucoup plus important, ce qui cr&eacute;e des occasions d'achat sur les march&eacute;s boursiers. Cela fait en sorte que les investisseurs individuels qui dorment sur des montants importants en liquidit&eacute;s devraient penser &agrave; les d&eacute;ployer, croit-il.
En ce sens, Vincent Fournier voit d'un bon oeil la d&eacute;claration de Warren Buffett survenue le 30 avril. &Agrave; ce moment, le milliardaire a dit avoir investi plus de 50 milliards de dollars am&eacute;ricains des liquidit&eacute;s de Berkshire Hathaway en Bourse durant le premier trimestre. &laquo;Si &ccedil;a vaut pour Warren Buffett, &ccedil;a vaut aussi pour les investisseurs individuels&raquo;, dit-il.
Selon Vincent Fournier, la cl&eacute; du succ&egrave;s r&eacute;side dans la capacit&eacute; des investisseurs &agrave; r&eacute;&eacute;quilibrer leurs portefeuilles.
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Le balado Gestionnaires en action traite de l'actualité boursière avec différents gestionnaires de portefeuille.

Le balado Gestionnaires en action traite de l'actualit&eacute; boursi&egrave;re avec diff&eacute;rents gestionnaires de portefeuille.

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