Marque 01

Au 19e siècle, la demande pour le thé en Grande-Bretagne est de plus en plus forte. Tellement forte que le premier bateau qui ramène de Chine le premier thé de la saison devient le gagnant d'un des évènements les plus médiatisés de l’époque. Les bateaux à voiles parcouraient vingt-quatre milles km en trois mois. Pourquoi se donner autant de mal pour du thé?  

Avec Judith Poirier-Bourdon, Luc Sénéchal, Céline Bézy, Kevin Gasgoyne (expert dégustateur de thé et co-propriétaire de Camellia Sinensis), Evelyne Ferron (historienne)

Au 19e siècle, la demande pour le thé en Grande-Bretagne est de plus en plus forte. Tellement forte que le premier bateau qui ramène de Chine le premier thé de la saison devient le gagnant d'un des évènements les plus médiatisés de l’époque. Les bateaux à voiles parcouraient vingt-quatre milles km en trois mois. Pourquoi se donner autant de mal pour du thé?  
Avec Judith Poirier-Bourdon, Luc Sénéchal, Céline Bézy, Kevin Gasgoyne (expert dégustateur de thé et co-propriétaire de Camellia Sinensis), Evelyne Ferron (historienne)

Une série sur l’histoire cachée des aliments. Chaque épisode raconte une histoire fascinante sur un ingrédient ou un aliment caché quelque part dans votre garde-manger.

Recherche, montage et réalisation: Anne-Sophie Carpentier

Production: QUB radio

Une série sur l’histoire cachée des aliments. Chaque épisode raconte une histoire fascinante sur un ingrédient ou un aliment caché quelque part dans votre garde-manger.
Recherche, montage et réalisation: Anne-Sophie Carpentier
Production: QUB radio

Garde-Manger

Au 19e siècle, la demande pour le thé en Grande-Bretagne est de plus en plus forte. Tellement forte que le premier bateau qui ramène de Chine le premier thé de la saison devient le gagnant d'un des évènements le plus médiatisé de l’époque. Les bateaux à voiles parcouraient 24 milles km en trois mois. Pourquoi se donner autant de mal pour du thé?    Avec Judith Poirier-Bourdon, Luc Sénéchal, Céline Bézy, Kevin Gasgoyne (expert dégustateur de thé et co-propriétaire de Camellia Sinensis), Evelyne Ferron (historienne)

La grande course du thé | 8

Aux quatre coins du monde, des barils de concentré de tomates circulent jour et nuit dans des bateaux cargos, des trains ou des camions. Les tomates transformées font très souvent le tour du monde avant qu’on les consomme. D'où viennent vraiment les tomates de notre pizza, de notre sauce à spaghetti ou de notre bouteille de ketchup ? Et qui les a cueillies ; une machine agricole ou des migrants sans papier du Sud de l’Italie ? 

Avec Marie-France LeBlanc, Annie Martineau, Jean-Baptiste Malet (auteur de L’empire de l’or rouge), Simon-Pierre Murdock (Canada Sauce), Sylvain Charlebois (économiste) 

Livre mentionné: L’empire de l’or rouge, Jean-Baptiste Malet, Fayard 

Aux quatre coins du monde, des barils de concentré de tomates circulent jour et nuit dans des bateaux cargos, des trains ou des camions. Les tomates transformées font très souvent le tour du monde avant qu’on les consomme. D'où viennent vraiment les tomates de notre pizza, de notre sauce à spaghetti ou de notre bouteille de ketchup ? Et qui les a cueillies ; une machine agricole ou des migrants sans papier du Sud de l’Italie ? 
Avec Marie-France LeBlanc, Annie Martineau, Jean-Baptiste Malet (auteur de L’empire de l’or rouge), Simon-Pierre Murdock (Canada Sauce), Sylvain Charlebois (économiste) 
Livre mentionné: L’empire de l’or rouge, Jean-Baptiste Malet, Fayard

Aux quatre coins du monde, des barils de concentré de tomates circulent jour et nuit dans des bateaux cargos, des trains ou des camions. Les tomates transformées font très souvent le tour du monde avant qu’on les consomme. D'où viennent vraiment les tomates de notre pizza, de notre sauce à spaghetti ou de notre bouteille de ketchup ? Et qui les a cueillis ; une machine agricole ou des migrants sans papier du Sud de l’Italie ?   Avec Marie-France LeBlanc, Annie Martineau, Jean-Baptiste Malet (auteur de L’empire de l’or rouge), Simon-Pierre Murdock (Canada Sauce), Sylvain Charlebois (économiste)   Référence: L’empire de l’or rouge, Jean-Baptiste Malet, Fayard

Pourquoi l’affaire n’est pas ketchup ? | 9

Marqueur 02

Exceptionnellement nutritive, la boisson de soya a pourtant longtemps été mal-aimée et même crainte par certaines personnes. Comment la pionnière des boissons végétales a-t-elle été développée par des gens qui croyaient qu’elle pouvait améliorer le sort de l’humanité?  

Avec Isabelle Huot (Docteure en nutrition), Guy Drouin (Professeur au Département de biologie de l’Université d'Ottawa) et Ignace Daher (Ventes et Marketing Aliments Natura) 

Crédits musique – Les cinq jumelles, Madame Bolduc, 1935, Starr, Canada  

Livre mentionné: Magic Bean: The Rise of Soy in America, Matthew Roth, University Press of Kansas 

Exceptionnellement nutritive, la boisson de soya a pourtant longtemps été mal-aimée et même crainte par certaines personnes. Comment la pionnière des boissons végétales a-t-elle été développée par des gens qui croyaient qu’elle pouvait améliorer le sort de l’humanité?  
Avec Isabelle Huot (Docteure en nutrition), Guy Drouin (Professeur au Département de biologie de l’Université d'Ottawa) et Ignace Daher (Ventes et Marketing Aliments Natura) 
Crédits musique – Les cinq jumelles, Madame Bolduc, 1935, Starr, Canada  
Livre mentionné: Magic Bean: The Rise of Soy in America, Matthew Roth, University Press of Kansas

Exceptionnellement nutritive, la boisson de soya a pourtant longtemps été mal-aimée et même crainte par certaines personnes. Comment la pionnière des boissons végétales a-t-elle été développée par des gens qui croyaient qu’elle pouvait améliorer le sort de l’humanité?    Avec Isabelle Huot (Docteure en nutrition), Guy Drouin (Professeur au Département de biologie de l’Université d'Ottawa) et Ignace Daher (Ventes et Marketing Aliments Natura)

La boisson de soya: le liquide beige qui voulait sauver le monde | 7

Jusqu’en 1967, l’originel ours gélifié Haribo avait la forme d’un ours adulte et non pas d’un ourson en peluche. Le bonbon s’appelait alors L’ours qui danse et faisait référence aux ours dressés, qui dansaient très souvent dans les fêtes foraines en Europe. Pourquoi avoir transformé l’ours qui danse en nounours?   

Avec Édith King, Sarah Takforyan (La boîte à bonbons), Pascal Jacob (historien du cirque) 

Jusqu’en 1967, l’originel ours gélifié Haribo avait la forme d’un ours adulte et non pas d’un ourson en peluche. Le bonbon s’appelait alors L’ours qui danse et faisait référence aux ours dressés, qui dansaient très souvent dans les fêtes foraines en Europe. Pourquoi avoir transformé l’ours qui danse en nounours?   
Avec Édith King, Sarah Takforyan (La boîte à bonbons), Pascal Jacob (historien du cirque)

Jusqu’en 1967, l’originel ours gélifié Haribo avait la forme d’un ours adulte et non pas d’un ourson en peluche. Le bonbon s’appelait alors L’ours qui danse et faisait référence aux ours dressés, qui dansaient très souvent dans les fêtes foraines en Europe. Pourquoi avoir transformé l’ours qui danse en nounours?     Avec Édith King, Sarah Takforyan (La boîte à bonbons), Pascal Jacob (historien du cirque)

La grande course du thé | 8

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Garde-Manger

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