(Rediffusion du 13 août 2019) Le tiers des rejets des microplastiques dans les océans proviennent des lavages répétés en machines des vêtements synthétiques.

Avec Benjamin Bourque et  Charles Trahan

(Rediffusion du 13 ao&ucirc;t 2019) Le tiers des rejets des microplastiques dans les oc&eacute;ans proviennent des lavages r&eacute;p&eacute;t&eacute;s en machines des v&ecirc;tements synth&eacute;tiques.
Avec Benjamin Bourque et&nbsp; Charles Trahan

En 5 minutes s'intéresse à la science, l'actualité et l'histoire. lnspiré de la page En 5 minutes publiée dans le Journal de Montréal, le balado est diffusé du lundi au vendredi tous les matins dès 6h. En cinq minutes, il vous invite à découvrir et comprendre les grandes questions de notre temps.

En 5 minutes s'int&eacute;resse &agrave; la science, l'actualit&eacute; et l'histoire. lnspir&eacute; de la page En 5 minutes publi&eacute;e dans le Journal de Montr&eacute;al, le balado est diffus&eacute; du lundi au vendredi tous les matins d&egrave;s 6h. En cinq minutes, il vous invite &agrave; d&eacute;couvrir et comprendre les grandes questions de notre temps.

En 5 minutes

Le tiers des rejets des microplastiques dans les océans proviennent des lavages répétés en machines des vêtements synthétiques. Avec Benjamin Bourque et  Charles Trahan

Une pollution invisible: les microfibres (EN REDIFFUSION)

Les matières fécales peuvent-elles nous sauver ? C’est ce que croient ceux qui pratiquent la transplantation fécale. Un champs de recherche riche de promesses et qui intéresse de plus en plus en dépit du dégoût que ça puisse inspirer.

Avec Élise Jetté et Charles Trahan

Les matières fécales peuvent-elles nous sauver ? C’est ce que croient ceux qui pratiquent la transplantation fécale. Un champs de recherche riche de promesses et qui intéresse de plus en plus en dépit du dégoût que ça puisse inspirer.
Avec Élise Jetté et Charles Trahan

Les matières fécales peuvent-elles nous sauver ? C’est ce que croient ceux qui pratiquent la transplantation fécale. Un champs de recherche riche de promesses et qui intéresse de plus en plus en dépit du dégoût que ça puisse inspirer. Avec Élise Jetté et Charles Trahan

Les prouesses de la transplantation fécale (EN REDIFFUSION)

Dans les laboratoires du Pittsburgh Cancer Institute, des chercheurs s’intéressent aux télomères, qui sont des  régions hautement répétitives d'ADN à l'extrémité d'un chromosome. 

Avec Élise Jetté et Charles Trahan

Dans les laboratoires du Pittsburgh Cancer Institute, des chercheurs s’intéressent aux télomères, qui sont des  régions hautement répétitives d'ADN à l'extrémité d'un chromosome. 
Avec Élise Jetté et Charles Trahan

Dans les laboratoires du Pittsburgh Cancer Institute, des chercheurs s’intéressent aux télomères, qui sont des  régions hautement répétitives d'ADN à l'extrémité d'un chromosome. Avec Élise Jetté et Charles Trahan

Stopper le vieillissement, un mirage? (EN REDIFFUSION)

Comment en sommes-nous venus à développer une relation étroite avec ce descendant du loup ? Et surtout, comment en est-il venu à nous suivre et à être si attaché à nous?

 La réponse réside dans des années, ou plutôt des dizaines milliers d’années, d’évolution.

Car le canis lupus «familiaris», le chien, aurait vécu à la même époque que l’homme du Néandertal, offrant un avantage à l'Homo sapiens sur celui-ci. 

Avec Véronique Morin et Charles Trahan 

Comment en sommes-nous venus &agrave; d&eacute;velopper une relation &eacute;troite avec ce descendant du loup ? Et surtout, comment en est-il venu &agrave; nous suivre et &agrave; &ecirc;tre si attach&eacute; &agrave; nous?
&nbsp;La r&eacute;ponse r&eacute;side dans des ann&eacute;es, ou plut&ocirc;t des dizaines milliers d&rsquo;ann&eacute;es, d&rsquo;&eacute;volution.
Car le canis lupus &laquo;familiaris&raquo;, le chien, aurait v&eacute;cu &agrave; la m&ecirc;me &eacute;poque que l&rsquo;homme du N&eacute;andertal, offrant un avantage &agrave; l'Homo sapiens sur celui-ci.&nbsp;
Avec V&eacute;ronique Morin et&nbsp;Charles Trahan&nbsp;

Comment en sommes-nous venus à développer une relation étroite avec ce descendant du loup ? Et surtout, comment en est-il venu à nous suivre et à être si attaché à nous?   La réponse réside dans des années, ou plutôt des dizaines milliers d’années, d’évolution.   Car le canis lupus «familiaris», le chien, était aussi au côté de l’homme du Néandertal.

Une pollution invisible: les microfibres (EN REDIFFUSION)

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