La dépression majeure affecte différemment les femmes et les hommes. Mais jusqu’à maintenant, on ne savait pas pourquoi.
Eh bien, une équipe de scientifiques de l’Université Laval vient de faire la lumière là-dessus.
Dans une étude qui vient d’être publiée dans la revue Nature Communications, l’équipe révèle la présence d’altérations situées dans des régions cérébrales différentes en fonction du sexe.
Avec Véronique Morin et Charles Trahan