Des scientifiques étudiant des restes momifiés d’Amérique du Sud âgés de 1 500 à 2 000 ans sont parvenus à extraire de l’ADN humain. L'ADN est plutôt rare chez les momies datant de plusieurs millénaires, mais le fait que des poux se soient collés à ces individus peu de temps avant leur mort a permis de préserver de précieuses traces d’ADN pendant toutes ces années. 

Avec Élise Jetté et Charles Trahan 

Des scientifiques &eacute;tudiant des restes momifi&eacute;s d&rsquo;Am&eacute;rique du Sud &acirc;g&eacute;s de 1 500 &agrave; 2 000 ans sont parvenus &agrave; extraire de l&rsquo;ADN humain. L'ADN est plut&ocirc;t rare chez les momies datant de plusieurs mill&eacute;naires, mais le fait que des poux se soient coll&eacute;s &agrave; ces individus peu de temps avant leur mort a permis de pr&eacute;server de pr&eacute;cieuses traces d&rsquo;ADN pendant toutes ces ann&eacute;es.&nbsp;
Avec &Eacute;lise Jett&eacute; et&nbsp;Charles Trahan&nbsp;

En 5 minutes s'intéresse à la science, l'actualité et l'histoire. lnspiré de la page En 5 minutes publiée dans le Journal de Montréal, le balado est diffusé du lundi au vendredi tous les matins dès 6h. En cinq minutes, il vous invite à découvrir et comprendre les grandes questions de notre temps.

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En 5 minutes

Des scientifiques étudiant des restes momifiés d’Amérique du Sud âgés de 1 500 à 2 000 ans sont parvenus à extraire de l’ADN humain. L'ADN est plutôt rare chez les momies datant de plusieurs millénaires, mais le fait que des poux se soient collés à ces individus peu de temps avant leur mort a permis de préserver de précieuses traces d’ADN pendant toutes ces années.

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