Des scientifiques étudiant des restes momifiés d’Amérique du Sud âgés de 1 500 à 2 000 ans sont parvenus à extraire de l’ADN humain. L'ADN est plutôt rare chez les momies datant de plusieurs millénaires, mais le fait que des poux se soient collés à ces individus peu de temps avant leur mort a permis de préserver de précieuses traces d’ADN pendant toutes ces années.
Avec Élise Jetté et Charles Trahan