Au Mozambique et en Tanzanie, en Afrique, des chasseurs de miel humains collaborent avec… des oiseaux. Des oiseaux qui les guident vers les arbres qui abritent les ruches d’abeilles. Une relation gagnant-gagnant que les volatiles ont bel et bien appris eux aussi à honorer, puisqu’ils attendent des humains qu’ils enfument la ruche et qu’ils l’ouvrent pour pouvoir se nourrir la cire d’abeille - une cire dont ils raffolent mais qu’ils ne pourraient pas obtenir tout seuls. Des chercheurs ont étudié ça, leurs conclusions sont étonnantes. 

Avec Baptiste Zapirain et Charles Trahan

Une production QUB Janvier 2024

Au Mozambique et en Tanzanie, en Afrique, des chasseurs de miel humains collaborent avec… des oiseaux. Des oiseaux qui les guident vers les arbres qui abritent les ruches d’abeilles. Une relation gagnant-gagnant que les volatiles ont bel et bien appris eux aussi à honorer, puisqu’ils attendent des humains qu’ils enfument la ruche et qu’ils l’ouvrent pour pouvoir se nourrir la cire d’abeille - une cire dont ils raffolent mais qu’ils ne pourraient pas obtenir tout seuls. Des chercheurs ont étudié ça, leurs conclusions sont étonnantes. 
Avec Baptiste Zapirain et Charles Trahan
Une production QUB Janvier 2024

En 5 minutes s'intéresse à la science, l'actualité et l'histoire. lnspiré de la page En 5 minutes publiée dans le Journal de Montréal, le balado est diffusé du lundi au vendredi tous les matins dès 6h. En cinq minutes, il vous invite à découvrir et comprendre les grandes questions de notre temps.

En 5 minutes s'int&eacute;resse &agrave; la science, l'actualit&eacute; et l'histoire. lnspir&eacute; de la page En 5 minutes publi&eacute;e dans le Journal de Montr&eacute;al, le balado est diffus&eacute; du lundi au vendredi tous les matins d&egrave;s 6h. En cinq minutes, il vous invite &agrave; d&eacute;couvrir et comprendre les grandes questions de notre temps.

En 5 minutes

Au Mozambique et en Tanzanie, en Afrique, des chasseurs de miel humains collaborent avec… des oiseaux. Des oiseaux qui les guident vers les arbres qui abritent les ruches d’abeilles. Une relation gagnant-gagnant que les volatiles ont bel et bien appris eux aussi à honorer, puisqu’ils attendent des humains qu’ils enfument la ruche et qu’ils l’ouvrent pour pouvoir se nourrir la cire d’abeille - une cire dont ils raffolent mais qu’ils ne pourraient pas obtenir tout seuls. Des chercheurs ont étudié ça, leurs conclusions sont étonnantes.

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