Le taux de lésions psychologiques chez les policiers est 5,2 fois plus élevé que dans les autres professions. Exposés à des situations traumatisantes en raison de leur travail, ils font face à des défis uniques pour leur santé mentale. Sensibiliser le public à ces réalités peut contribuer à une meilleure compréhension des multiples facettes de ce métier et de l’impact qu’il peut avoir sur ceux qui le pratiquent.
Entrevue avec Pierre Brochet, président de l’Association des directeurs de police du Québec (ADPQ) et directeur de police à Laval.