Si, dans un premier temps, nos adversaires étaient les anglophones, nous avons maintenant un autre ennemi : nous-mêmes. Denise Bombardier explique que, selon elle, les francophones maltraitent leur langue. Ils ne lui portent pas le respect nécessaire et n’ont pas la conscience de posséder une langue exceptionnelle que l’on doit protéger et aimer en la parlant bien.

<p>Si, dans un premier temps, nos adversaires &eacute;taient les anglophones, nous avons maintenant un autre ennemi : nous-m&ecirc;mes. Denise Bombardier explique que, selon elle, les francophones maltraitent leur langue. Ils ne lui portent pas le respect n&eacute;cessaire et n&rsquo;ont pas la conscience de poss&eacute;der une langue exceptionnelle que l&rsquo;on doit prot&eacute;ger et aimer en la parlant bien.</p>

Une série balado qui dit à haute voix ce que Denise Bombardier pense haut et fort, avec Vincent Dessureault. Chaque semaine, Denise Bombardier remonte le fil de sa mémoire pour discuter des enjeux de la société Québécoise contemporaine. Journaliste et écrivaine depuis plus de trente ans, son franc-parler est aussi connu en France qu'au Québec. 

<p>Une s&eacute;rie balado qui dit &agrave; haute voix ce que Denise Bombardier pense haut et fort, avec Vincent Dessureault. Chaque semaine, Denise Bombardier remonte le fil de sa m&eacute;moire pour discuter des enjeux de la soci&eacute;t&eacute; Qu&eacute;b&eacute;coise contemporaine. Journaliste et &eacute;crivaine depuis plus de trente ans, son franc-parler est aussi connu en France qu'au Qu&eacute;bec.&nbsp;</p>

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